Pas de retraite en France sans y avoir travaillé ! | Les pétitions de Le cri du contribuable 

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Pas de retraite en France sans y avoir travaillé ! 

Cette pétition sera adressée à M. Nicolas Sarkozy, président de la République. 

Monsieur le Président de la République, 

J'ai appris récemment que des retraites sont accordées à des étrangers n'ayant jamais travaillé en France. A partir de 60 ans, s’ils ne peuvent plus travailler et dans tous les cas à 65 ans, ils peuvent toucher l'Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), avec un simple permis de séjour. Ainsi, des personnes n’ayant jamais cotisé le moindre centime dans notre pays peuvent toucher 8507,49 euros par an de retraite (soit un peu plus de 700 euros par mois).  

Ces informations peuvent être consultées dans le livret d’accueil « Vivre en France » délivré par le ministère de l'Immigration, en page 54, sous le titre « Vieillir en France ». 

Votre réforme des retraites obligeant les Français et les étrangers travaillant en France à cotiser deux ans de plus pour pouvoir toucher leur pension, je vous demande, par souci de justice, de mettre fin à cette dérive intolérable en cette période de crise économique et financière ! 

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma plus haute considération. 

Soyez nombreux à signer cette pétition, et à la faire circuler largement autour de vous ! 

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Pour toute demande d’information au sujet de cet appel et de la garantie de confidentialité, merci de nous envoyer un message à l'adresse suivante : lecri@contribuables.org . 

Le Cri du Contribuable 

42 rue des Jeûneurs 

75002 Paris 

Téléphone : 01 42 21 16 24 

Télécopie : 01 42 33 29 35 

Un type est en train de faire du stop au beau milieu d'une forêt, la nuit, en pleine tempête.

L'orage gronde autour de lui, le vent souffle, et aucune voiture ne passe dans cette immense forêt.

La pluie est tellement forte qu'il a du mal à voir ses propres chaussures.

Soudain, il aperçoit des phares au loin.

Une voiture approche doucement de lui et s'arrête à son niveau.

Il s'engouffre dans le véhicule, referme la portière et se rend immédiatement compte qu'il n'y a personne au volant.

Effrayé il décide alors de ressortir immédiatement mais
la voiture redémarre doucement.

Il est terrorisé, d'autant plus qu'un virage se profile au loin. Il commence à prier.

Le type n'a pas fini d'être surpris car au moment d'arriver à l'entrée du virage, la porte du conducteur s'entrouvre et une main entre pour faire tourner le volant dans le virage.

 Paralysé par sa peur il s'accroche de toutes ses forces à son siège. A chaque virage, la scène se reproduit.

Au bout de quelques minutes, la voiture fantôme entre dans un village, le type terrorisé profite de l'aubaine pour s'extraire du véhicule et pour courir de toutes ses forces le plus loin possible.

Au milieu de la pluie battante, il se retrouve alors devant un petit bar qui semble être ouvert et éclairé.

Il entre dans le bar, se dirige au comptoir, commande un double cognac et raconte au patron son incroyable histoire.

Tous les clients sont perplexes.

Un quart d'heure plus tard deux types arrivent à leurs tours complètement trempés dans le bar, l'air exténué.

Ils saluent l'assemblée, puis le premier se retourne vers le second :

- Gérard, regarde là-bas, c'est le gros con qui est monté dans ta voiture pendant qu'on la poussait au milieu du bois.